Chapitre0: le massacre

L’hiver n’avait jamais été aussi rude…
Depuis plus de trois lunes déjà, la neige n’avait cessé de tomber.
Même les cerisiers, qui, pour les Japonais, symbolisaient le renouveau, la vie en semblaient dépourvu comme mort…
Le paysage était devenu un désert blanc. Personne n’avait vu d’animaux depuis le début de l’hiver et la famine se glissait déjà dans les villages. Ravageant d’abord les vieillards puis les enfants pour enfin finir par le reste du village. Des populations entières avaient déjà disparu. La famine serait peut-être moins dure si le shogun n’avait pas décidé justement d’augmenter les taxes en riz.

En ces temps là, désobéir à une directive royale était impensable. Les paysans préféraient mourir de faim que de se faire torturés avec leurs familles et comme le shogun était divin offenser les dieux était plus que dangereux. Tandis que les noble familles le plus souvent de samouraï mangeais à s’étouffer et restait bien au chaud dans leur châteaux à festoyer et a ramasser les taxes tous l’hivers ! Heureusement tous les nobles n’étaient pas tous inhumains :
La famille AKAMASHI installée à Fukushima et régentant toute la région d’Honshu était particulièrement sage leur réputation se propageais à travers tous le pays. Leurs grande sagesse était légendaire de plus comme il ne sortait jamais de leurs château pour on sait quelle raison, nul ne sait à quoi ils ressemblait. Il n’y avait, paraît-il une chose qui les empêchait de sortir : une vieille légende disait que tous les descendant de Takatsuki le premier Akamashi avait les yeux vert. Ce n’était pas si grave mais pour l’époque avoir des différences trop marquées avec le reste du monde était assez dangereux. L’Homme peut-être si cruel !
Ce n’était peut-être qu’une légende locale dont les villageois se servaient pour justifier le fait qu’ils ne sortaient jamais. Des japonais aux yeux vers ? ^^
Quoi qu’il en soit cette famille était d’une grande sagesse. Leurs paroles étaient rapportées par les serviteurs de la famille. Et quand le shogun ordonna au seigneur de prélever les doubles des taxes, un messager fut envoyé pour prévenir celui-ci que la famille refusait une telle chose que les villageois ne pourraient y survivre. Le roi leurs répondit en leurs envoyant le tête de leur messager
(gentiment et poliment (-_-°)) deux semaines plus tard une troupe de deux cent soldats pénétra le château en tuant tous se qu’ils trouvaient. (200 wouha sont beaucoup !)
Le nombre semblait certes dérisoire mais les Akamashi n’avait même pas un garde à la porte !
Un cri retentit. Les assaillants était à présent dans la salle principal, la ou se trouvaient justement la famille. Ils venait déjà de tuer l’épouse et le père avec le fils aimer âgé de seize ans et qui était le seul de toute la famille à avoir reçu des enseignements d’armes. Le père avait réussit a tuer cinq soldats tandis que le jeune homme venait d’achever son vingt-deuxième assaillants. Derrière eux trois fille (une âgée de dix ans la deuxième âgée de cinq ans et la dernière de 4 mois) et deux garçon (l’un de treize ans et l’autre de 8 ans) qui se cachait derrière leurs frère aîné.
Malheureusement, après avoir « nettoyer » le château, les autres soldats arrivèrent tous d’un seul coût
(bas oui les autres arrivaient progressivement logique un gosse qui tu 22 soldat ‘^_^).
Le père fut tué sous les yeux apeurés de ses enfants. Le jeune homme mettait toute sa volonté pour défendre la famille qui lui restait mais l’épuisement le faisait de plus en plus lourde…
Un tressaillement et une peu d’inattention et il se prit un katana dans l’épaule et s’écroula au sol.
Il gisait à présent sur le sol baignant dans le sang chaud qui jaillissait abondement de son épaule éclairé par le seule rayon de lune bleu qui passait à travers les fenêtre teinte de sang assistant impuissant au massacre du reste de sa famille qui se faisait égorger...

Deux jours plus tard....
"Allez dépêche toi le gamin!" le jeune homme étais ligoté et traîné par le cheval du capitaine qui commençais a s'énerver envers la résistance inutile du jeune homme...
"Allez! Si tu ne te dépêche pas je t'achève c'est compris!" le garçon se releva tan bien que mal mais sa blessure non soigner le plaqua a terre: il avait perdu trop de sang et avec la neige il frisait l'hypothermie! Un soldat descendit de cheval et vérifia qu'il respirait toujours puis il le monta sur son cheval....
"Général! Pourquoi avoir épargné cet enfant ?
- C'est un excellent guerrier il pourras surment être utile au shogun!
- Mais le shogun a dit ...
- Ne me posez plus de question! En avant!
- oui mon général!"
Le soir arriva et le campement des guerriers était presque fini de monter. Le jeune homme toujours attaché au cheval se réveilla enfin mais fit mine d’être toujours inconscient…
Lorsqu’il eu enfin réussi a ronger ses lien il descendit de cheval et se glissa silencieusement vers la foret…

« Trouvez-moi ce mioche ! Si jamais il s’échappe vous serez la honte de l’armée du shogun !
- mais mon général cela fait deux jours que nous le cherchons et des soldats disparaissent de plus en plus…
- Et comment croyez-vous qu’ils disparaissent espèce d’incapable !
- Mais cela est impossible … Il est blesser…
- Vous oublier de quelle famille il est issu ! Si il n’a plus la force il à toujours l’esprit. Trouvez- le moi vite ! Et je le veux vivant ! »

« Tssss quels incapable et imbéciles ils font ! Ils pensent réellement que je vais venir bien gentiment me rendre ! Vous allez payer pour ma famille ! Père je sais que vous seriez contre mais je doit vous venger ! » *bruit de pas* le jeune homme se retournât :
« Père ? Je… je… C’est impossible ! Le jeune homme vit son père s’avancer vers lui aussi clairement que si il était là…
Père ! Que dois-je comprendre ? Que se passe t’il ? PEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERE ! »
Ils venait d’hurler se qui ne fut pas vraiment le moment car le dit générale passait par la accompagné d’une dizaine de soldat et le jeune homme était a bout de force…
« Le voila soldat attrapez le !
- non ! le jeune homme se mit à courir…un soldat se jeta sur lui et le plaqua au sol
- bien ! Ligotez-le et … Cette fois bâillonnez-le !
- oui mon général ! »

Le lendemain ils arrivèrent aux portes du château d’EDO…



25/11/2006
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